Selon le journal Top Fm, pour se faire un peu d’argent, des mineurs ont proposé « des sex chats ou des photos de nu« durant le confinement.
« L’affaire a éclaté lorsque des internautes ont eu vent que des photos de femmes et jeunes filles mauriciennes sont échangées et partagées sur un réseau social », indique le journal.
Top Fm précise que les prix pour ces « services en ligne » varient entre Rs 300 (environ 6 euros) et Rs 1 000 (environ 20 euros). Les « clients » paient à travers des services bancaires en ligne.
Les photos ont ensuite fuité sur des applications telles que telegram ou whatsapp. « Les membres des différents groupes comptant plus de 1 000 participants, partagent des photos et vidéos à caractère pornographique de jeunes Mauriciennes, notamment des mineures« .
Le journal en ligne, indique que la Cybercrime Unit a initié une enquête.
2 commentaires
milk
Ayo ,confinement faire toi perd to la tête . Cousins fine fou.
Ticomic
Ayo bonnom…quoi zot faire la ?