Cette année encore, les FAZOl ont répondu présents à l’appel des organisateurs de la célèbre course du Grand Raid afin de fournir un soutien humain et matériel du 19 au 22 octobre sur les sites de Deux-Bras et de La Redoute
Etant donné l’envergure de la course, les organisateurs de celle-ci ont une nouvelle fois sollicité les FAZSOI pour prendre part à l’organisation. Les militaires étaient donc chargés de la gestion du poste de ravitaillement de Deux-Bras, situé à la sortie du cirque de Mafate et au sein duquel passe l’ensemble des coureurs.
Unique point de convergence des quatre courses composant le Grand Raid, ce poste très enclavé et difficile d’accès présentait un défi humain et logistique majeur pour les FAZSOI. Il s’agissait d’assurer des missions de gestion, de ravitaillement et de jalonnement au profit de l’ensemble des coureurs engagés dans l’épreuve.
Afin d’armer le poste de Deux-Bras, les FAZSOI ont déployé 30 militaires issus du 2ème régiment de parachutistes d’infanterie de Marine, de la base aérienne 181, de la direction interarmées du service de santé, de la base navale, de la direction interarmées des réseaux d’infrastructure et des systèmes d’information et de la direction du commissariat. Aux ordres des FAZSOl, étaient également engagés : 50 bénévoles civils pour le soutien commun et 50 bénévoles médicaux et paramédicaux civils pour le soutien médical. En plus de la ressource humaine, les FAZSO1 ont également participé au déploiement et au montage des infrastructures logistiques, à la mise à disposition des véhicules, du matériel de vie en campagne et des kits santé pour les coureurs.
A travers le déploiement de ce point d’appui isolé et exposé à des conditions rustiques et abrasives qui ont éprouvé les moyens humains et matériels, la participation des FAZSOI au Grand Raid a offert une opportunité de premier plan afin de durcir l’entrainement opérationnel. L’esprit de cette course entre parfaitement en résonance avec les valeurs des forces armées et plus particulièrement celles liées à la condition physique du militaire.
1 commentaire
louba
c était ça ou rien , car soit tu marches , soir tu creves. tel est le dicton militaire .