Ils devront chercher un VRAI travail, leur a indiqué le juge, faire aussi 40 heures de travaux d’intérêts général, et aussi purger leur peine en mode « surveillance électronique » : deux compères s’étaient associés à Saint Joseph pour créer une page Facebook et vendre du zamal dessus. Ca marchait bien jusqu’à ce que la page soit repérée par un enquêteur qui a remonté toute la filière jusqu’à eux. Le petit manège durait depuis septembre 2021.
18 mois de prison dont 8 avec sursis sanctionnent les deux dealers saint joséphois.
5 commentaires
ludo
rienc ça zott i trouve mai le persson perdu i rodé pas zott pffff sort la donc
Mdr
MôvéLang
» Ils devront chercher un VRAI travail, leur a indiqué le juge, »
Je suis certain que ce juge se fout de nous les contribuables.
Justice ? Oussa ??
Lol. La justice a donc une liste de riches consommateurs à sa disposition, qui entretiennent et subventionné le système, mais elle se limite à enfermer des petits trafiquants gros doigts. C’est pas le mot justice qu’il faut employer…
Pol Hochon
C’était de la patate douce!