Les faits reprochés ce vendredi 14 octobre à cette institutrice de 43 ans sont choquants : « contacts sexuels » répétés et abus sur un élève de 8 ans. Les agressions auraient duré environ 17 mois, puisqu’elle avait créé une relation de confiance avec les parents, au point de devenir une amie de la famille. Pour sa défense, l’enseignante aurait déclaré à la barre qu’elle était tombée amoureuse de l’enfant.
Dans un premier temps, le jeune garçon a expliqué à sa mère que son ancienne institutrice l’avait embrassé sur la bouche. Mais très vite, la parole se libère et l’enfant donnera des détails bien plus sordides.
L’enseignante proposait de l’aide aux devoirs
Si la réalité des faits a été longtemps ignorée, la directrice de l’école avait tout de même constaté une trop grande proximité entre la maitresse et son élève :
« L’accusée avait reçu un premier signal d’alarme. La directrice de l’école avait refusé de placer [l’enfant, NDLR] dans sa classe de troisième année et l’avait avisée qu’elle était trop proche. Plutôt que de suivre ce conseil, elle offre ses services de tutrice à la famille, emmène ce dernier chez elle et établit un programme de récompenses », a révélé le juge du tribunal de Laval, au Canada
Pour avoir encore plus de moments seule avec le garçonnet et abuser de lui, elle l’emmenait au cinéma ou au restaurant pour le féliciter de ses bons résultats à l’école.
« Comme prof, elle était supposée être là pour l’aider avec ses difficultés à l’école, pas pour lui nuire. Elle a plutôt aggravé sa situation. Peu importe la sentence, ça n’aurait jamais été assez sévère pour moi, mais je suis soulagée, car le juge a vu clair dans son jeu de manipulation », a déclaré la maman.
Le petit garçon garde des séquelles psychologiques de ces agressions, notamment des cauchemars, des insomnies et se lave les mains et le corps plusieurs fois par heure.« C’est comme un barbouillage que j’essaie d’effacer, mais il reste toujours des traces », avait écrit le petit garçon au juge en charge de l’affaire.
3 commentaires
Nene
Ça en France ça bande donneur. De lecon
Naty
Complètement tarée cette femme
Kiki
Mi voudrais bien savoir cossa y s’ passe dan la tête domoun quand y agit ek un z’enfant sur la pédocriminalité. Le mot pédophile lé fine retiré du dico. Enfin non. Mais en tout cas lé pu désigner comme tel. Car quand ou na l’affection pou un marmaille ou touche pas son corps. Son corps y appartient à li seul. Cet instit là, elle la reste bloqué quelque part dans son cerveau un l’âge comme le ti garçon.