C’est le message qu’a tenu à faire passer en début de cette semaine la directrice de cet établissement, Nathalie Gautron. L’IRTS (Institut régional de travail social) de la Réunion dont le siège social se trouve à Saint-Benoit existe depuis plus de 20 ans.
Au départ, il accueillait un peu plus de 400 étudiants. Ils en sont aujourd’hui à environ 2500 (formations initiale et continue). Cette structure prépare les jeunes et moins jeunes Réunionnais à un métier dans le vaste domaine du social. Les formations pédagogiques sont prises en charge par la Région. Mais de plus en plus, l’IRTS se trouve confronté à un problème de recrutement sans doute dû à un manque de communication.
Raison pour laquelle, profitant du passage de la présidente de Région, Huguette Bello, mardi dernier, dans l’établissement, la directrice Nathalie Gautron a souhaité lancé un appel aux jeunes et moins jeunes de la Réunion, avec ou sans bac, pour leur faire savoir que l’IRTS recrute. Elle est au micro d’Yves Mont-Rouge :
https://www.facebook.com/100016989824186/videos/186613651139729
1 commentaire
Ont étaient mieux dans les champs de canne...
Arrêtez arrêtez « bosser dans le social ou dans les communes!!! » Mais vous êtes pas bien? Entre les magouilles et les chichi !Pour quel salaire? Dites leurs la vérité dès maintenant, arrêtez de faire miroiter à nos enfants qu’ ils travailleront, pour le salaire qu ils auront c’ est de l esclavage, de la poudre aux yeux, vous êtes marante VOUS vos enfants vous les encouragers à partir voyager, travailler en Europe ou à l étranger puis là vous vous voulez recruter nos enfants! Moi j encourage les étudiant à partir apprendre hors de l ile, voyagez, vivez faites pas comme vos parents, ils ont écoutés nos politiciens, ils se sont fait exploiter même aujourd’hui en retraite ils pleurent leurs larmes de sang quand ils voient leurs retraites pour toute une vie passée à travailler dans les communes, vous avez l exempl en ce moment: l affaire spl estivale! Vous savez combien de famille en patisse de cette conerie? Non arrêtez !