Un spectacle de danse classique indienne (Bharata Natyam) et de danse indienne contemporaine, avec sur la scène du Téat de Champ-Fleuri, les 27 et 28 octobre prochains, pas moins de 45 danseuses et danseurs de 4 ans et plus.
Des danseuses qui ont commencé l’apprentissage de cet art depuis l’âge de 4-5 ans et qui sont aujourd’hui mamans pour nombre d’entre elles. Elles ont la trentaine et vont danser avec leurs enfants. C’est aussi ça Natya Kalamani, une association où le savoir-faire et les valeurs se transmettent de génération en génération.
Lynda Sellom et son équipe ont tenu une conférence de presse, ce vendredi matin pour présenter Naattya Kaadal, le nouveau spectacle de Natya Kalamani, association qui existe depuis plus de 30 ans et qui est à l’initiative de l’organisation de la première fête du Dipavali (fête de la lumière) à Saint-André.
Naattya Kaadal ou la passion de la danse, l’histoire autobiographique de la chorégraphe diplômée de danse indienne Lynda Sellom, cette mère de famille de Saint-André dont la réputation en la matière n’est plus à faire. Cliquez sur le lien ci-dessous pour lire notre article publié il y a deux semaines :
Danse indienne : « Naattya Kaadal » ou le grand retour sur scène de Lynda Sellom
Naattya Kaadal marque ainsi le retour de Lynda Sellom et de ses élèves sur la scène de Champ-Fleuri après 15 ans d’absence. Pourquoi ? Ecoutez les explications de la professeure diplômée au micro d’Yves Mont-Rouge :
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Mais attention, si Natya Kalamani n’a pas foulé les planches de Champ-Fleuri durant 15 ans, cela ne veut pas dire pour autant que l’association a chômé. Loin de là. « Nous avons continué de nous entraîner, de nous produire au Conservatoire de Saint-Benoit, à la salle de spectacle de la Plaine-des-Palmistes, à Saint-Denis… Nous avons également effectué des voyages en Inde avec les élèves et leurs parents », précise Lynda Sellom.
Parce qu’au sein de Natya Kalamani, on danse mais pas que. « On apprend aussi les valeurs de partage, d’entraide, de solidarité », insiste Lynda Sellom. « Des valeurs également d’éducation, de responsabilité », ajoute la maman d’une adolescente s’exprimant au nom des parents, toujours très présents auprès de leurs enfants au sein de cette association culturelle.
« Des valeurs de discipline, de rigueur et de respect », indique pour sa part Sophie, une jeune maman de 35 ans (assistante de direction du maire de Saint-André), ancienne élève de Natya Kalamani et qui va danser cette fois avec sa fille de 16 ans dans ce nouveau spectacle.
Raïssa, la jeune présidente de l’association, elle aussi danseuse de longue date, met l’accent sur « le sens de l’engagement ». Et Cathy, également danseuse historique au sein de Natya Kalamani salue le travail de la chorégraphe : « incroyable tout ce que peut faire cette dame ! ».
Bref, vous l’aurez compris, Natya Kalamani n’est pas qu’une école de danse. C’est une école de la vie. Raison pour laquelle, Lynda Sellom vous invite à venir nombreuses et nombreux les 27 et 28 octobre soutenir ces jeunes et moins jeunes dans leur passion d’autant que l’association n’est financée par aucune collectivité. Elle ne vit que grâce aux donateurs et à la générosité des parents d’élèves.
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