Le lycée Roland Garros au Tampon a été évacué ce matin. Plusieurs élevés auraient reçu des messages d’une alerte à la bombe. Les forces de l’ordre sont sur place.
Nouvelle alerte à la bombe, cette fois-ci au lycée de la Bellepierre à St-Denis. Depuis 8h30, les élèves sont évacués et les démineurs sont attendus sur les lieux.
Puis, vers 9h, nous avons également appris que le lycée Pierre Lagourgue, à Trois Mares du Tampon est aussi concerné par l’évacuation.
11h30, une forte présence des forces de l’ordre est également signalée au collège Juliette Dodu de Saint-Denis. L’information selon laquelle, il s’agit bien d’une alerte à la bombe est confirmée par les parents qui vont récupérer leurs enfants. Les élèves sont régroupés au stade de Joinville où les parents peuvent les récupérer.
Notre journaliste, Olivia Raheri, rapporte que les élèves se trouvant dans les établissements scolaires environnants ne sont pas évacués.
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11h45 : Le collège de la Montagne, au Colorado serait également évacué. Des parents ont déjà pris leurs enfants.
12H00 : Le lycée Mémona Hintermann-Afféjee au Moufia serait également évacué tout comme les collèges Jules Reydellet, et Robert J. Ardon de Mongaillard.
12h00 : une autre alerte a été donnée concernant cette fois ci le Carrefour Ste-Clotilde. Le premier centre-commercial à être concernée par l’évacuation dans le cadre de cette alerte.
Alerte à la bombe au Carrefour Ste-Clotilde : le centre commercial évacué, les démineurs sur place
Au milieu de la journée, la mairie de Saint-Denis est également évacuée pour la même cause.
Alerte à la bombe : la mairie de St-Denis en cours d’évacuation
17h: Des auditeurs de Free Dom ont confirmé l’évacuation du centre commercial Leclerc La Réserve à Sainte-Marie
Evacuation en cours au centre commercial Leclerc La Réserve à Ste-Marie
Parallèlement à cela, l’évacuation du centre commercial Duparc Sainte-Marie a été annoncée comme celle de l’hôtel Dina Morgabine à Saint-Denis.
Face à la multiplication récente de ces incidents le préfet du Morbihan rappelle qu’une fausse alerte, par la nécessité de déplacement des gendarmes, des policiers, des sapeurs-pompiers…, retarde une intervention pour ceux qui en ont vraiment besoin.
Les auteurs de fausses alertes à la bombe encourent des anctions sévères
Les auteurs de fausses alertes à la bombe encourent des sanctions sévères en vertu du code pénal. La communication ou la divulgation de fausses informations dans le but de faire croire à une menace de destruction ou de détérioration dangereuse est passible de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende. Si la fausse alerte provoque une intervention inutile des secours, la peine est également applicable.La peine augmente à trois ans de prison et 45 000 euros d’amende lorsque la personne menace directement de destruction ou de dégradation dangereuse pour autrui. En cas de fausse alerte directement signalée aux forces de l’ordre, la sanction est plus sévère, avec la possibilité de six mois d’emprisonnement et 7 500 euros d’amende.
Dans le cas de fausses alertes liées à la sécurité d’aéronefs en vol ou de navires, la peine atteint cinq ans de prison et 75 000 euros d’amende. Pour les menaces verbales ou écrites contre les trains, les sanctions varient entre 6 mois à 2 ans de prison et 3 750 euros d’amende.Il est important de noter que les mineurs ne sont pas exemptés de poursuites judiciaires. Les sanctions sont adaptées en fonction de l’âge de l’auteur du délit. Pour les mineurs de moins de 13 ans, des mesures éducatives sont mises en place, tandis que les mineurs condamnés voient les frais, y compris les dommages et intérêts, incombés à leurs parents.
4 commentaires
Estelle
Banir l anonymat des réseaux sociaux et que toute alerte a la bombe ,une sanction exemplaire et dans excuses les frais remboursés par les parents tolérance zéro que nos juges se montrent a la hauteur du préjudice.
Estelle
Banir l anonymat des réseaux sociaux et que toute alerte a la bombe ,une sanction exemplaire et dans excuses les frais remboursés par les parents tolérance zéro que nos juges se montrent a la hauteur du préjudice.
noah
Le ou les « lanceurs » de bêtises seront vite pris s’ils n’ont pas de VPN !
Que les amandes soient salées !
Bolo
Ahahah 2 ans de sursis et 30 00 euro bien entendu c le max et ca n arrive jamais
Les mineurs auteurs c kuste une petite punition educative
Ben ca va continuer encore.. noel c ds longtemps